Quelques mots sur la Sécurité des Systèmes d'Informations

Google Health, à l’instar de son concurrent Microsoft Healthvault, propose à ses utilisateurs de centraliser les données médicales extraites automatiquement des logiciels opérés par les professionnels de santé (uniquement Américains, faut-il le rappeler). Partager ses documents médicaux Depuis quelques jours, il est possible d’y stocker ses propres documents (4 Mo par document, pour un volume maximum de 100 Mo), sachant que depuis Mars 2009, les utilisateurs peuvent partager leur dossier médical : tout ou partie des données peuvent alors être consultés (sans toutefois pouvoir être modifiées) par qui bon leur semble : professionnels de santé, proches et amis, etc. le système assurant par ailleurs une journalisation de ces éventuels accès et consultations. En complément de toute la paperasse médico-administrative qu’il est possible de numériser (relevés

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Le 3 Juin dernier, le Sénat a adopté les dispositions du projet de loi portant réforme de l’hôpital et relatif aux patients, à la santé et aux territoires (HPST) sur les mesures réformant les conditions de création, d’organisation et de fonctionnement des laboratoires d’analyse de biologie médicale (LABM). Plus particulièrement celles de l’article 20 qui visent à “Mieux garantir la qualité des examens de biologie médicale, notamment en mettant en place une procédure d’accréditation des laboratoires” (publics et privés). ISO 9001 Aujourd’hui, quel que soit leur domaine, la plupart des organisations qui souhaitent organiser le suivi de la qualité de leurs prestations ou produits, mettent en oeuvre un système de management de la qualité (SMQ) tel que défini dans la norme ISO 9001. Cette norme se base sur deux

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Le système national de santé du Royaume-Uni (NHS) a initialisé depuis 2003 un système informatique : Connecting for Health, pour gérer les dossiers médicaux de ses citoyens, à l’instar de notre projet DMP mais là-bas à (trop ?) grands frais : un budget de près de 15 milliards d’euros. Ce n’est que depuis quelques jours, que les patients de l’autre côté de la Manche peuvent désormais demander la suppression définitive de données de ce dossier médical électronique. Paradoxalement et jusque là, le Ministère de la Santé Anglais expliquait aux associations de patients que la mise en place d’opérations de suppressions de dossiers à la demande des patients serait …trop coûteuse ! : les patients ne pouvaient alors que “masquer” certaines données. Ce dernier point rappelle par ailleurs nos récents

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